Section de Paris 19 è arrondissement

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Les élu-e-s communistes du 19e

  • Émilie Dareau

    Émilie Dareau a 34 ans, mère de 2 enfants. Installée à Paris depuis 2007, militante du PCF et collaboratrice d'élu communiste. Émilie Dareau
est une citoyenne et parent d'élève engagée dans la lutte pour l'...
  • Philippe Nawrocki

    Philippe Nawrocki a 46 ans il est professeur d'EPS à Paris depuis 15 ans dont 15 dans le 19e arrondissement. À ce titre, il est aux premières loges pour constater l'accroissement des inégalités culturelles et...
  • Tatiana Poudiot

    Tatiana Poudiot a 27 ans, elle est originaire du Sud-ouest (Pyrénées-Atlantiques). C'est en tant que nouvelle habitante parisienne qu'elle découve la violence des prix exorbitant des loyers parisiens....
  • Gabriel Gau

    Gabriel Gau a 25 ans. Il est né dans le 19e arrondissement et habite toujours le quartier Buttes-Chaumont où il a grandi. Véritable amoureux de notre arrondissement et de ses habitants, il y a appris la richesse que...
  • Fanny Gaillanne

    Fanny Gaillanne a 26 ans et est originaire d'Avignon. Venue à Paris dans le cadre de ses études en 2009, elle s'est installée dans ce quartier unique à Paris qu'est Belleville, où elle travaille. Révoltée...
  • Sergio Tinti

    Sergio Tinti a 52 ans, il est professeur d’EPS au collège Edgar Varèse dans le 19ème arrondissement. De 2008 à 2014 il est adjoint au Maire du XIXe chargé des sports et délégué du Maire pour le quartier...
 
 
 

La lettre des élu-e-s du 19e - Mars 2013

L’espoir suscité par le rejet de la droite en mai 2012 dans notre pays semble avoir laissé place à un sentiment de déception et d’incompréhension.
Le « tous ensemble » qui avait condamné le sarkozysme et son projet scélérat de société en faveur des plus riches et de la spéculation boursière basé sur les discriminations et sur la casse de notre
système social, risque petit à petit de perdre de sa force et de sa pertinence.

Les choix économiques du gouvernement n’étant pas en rupture avec les politiques européennes d’austérité basées sur des restrictions budgétaires, toute reprise économique reste improbable. Seule certitude : la
précarisation généralisée pour toutes les forces vives de notre pays.

Nous – élus communistes et du Front de gauche - refusons cette résignation politique, et à l’Assemblée nationale et au Sénat, tout comme dans nos quartiers, nous seront les porte-parole de celles et
ceux qui aspirent à une société différente.

Lors de la dernière Assemblée citoyenne du XIXe , c’est la campagne « contre l’austérité » que nous avons lancée localement. C’est dans ce nouvel espace politique que nous avons décidé de participer à la manifestation du 5 mars dernier contre l’Accord National Interprofessionel (ANI) du 11 janvier cosigné par le MEDEF et trois syndicats (CFDT - CFTC- CFE CGC) qui ne représentent que 38% des salariés de notre pays.

Nos députés s’opposeront à la retranscription intégrale de cet accord minoritaire, qui précarise encore plus les salariés. Notre participation aux luttes locales - comme celle des locataires de la rue Pradier contre la spéculation immobilière ou celle des travailleurs (comédiens ou non) du théâtre Paris Villette pour un
projet culturel de proximité - doit stimuler le travail parlementaire, notamment par le biais des ateliers législatifs que nous souhaitons mettre en place.

C’est le sens que nous donnons à notre engagement ; c’est ainsi que nous contribuerons à la réussite de la gauche.